Ce que coûte vraiment une voiture
thermique quand on est VTC

Une illusion d’économie

Beaucoup de chauffeurs VTC pensent encore que rester en voiture thermique est plus simple et plus économique. Mais lorsqu’on additionne les coûts réels du carburant, de l’entretien et des imprévus, la facture est bien plus lourde qu’on ne le croit. Le sentiment de “connaître” la mécanique thermique rassure, mais il masque un budget d’exploitation bien supérieur à ce que permet l’électrique.

À cela s’ajoute un autre facteur souvent négligé : l’image professionnelle. Continuer à rouler en thermique, à l’heure où le marché bascule vers l’électrique, finit par donner une impression dépassée, voire à contre-courant de l’évolution du métier.

VTC électrique - économie carburant - E-Lutetia

Le carburant : un poste écrasant et imprévisible

Le carburant reste de loin la dépense la plus importante.
Un chauffeur qui parcourt 6 000 km par mois avec une consommation moyenne de 6 L/100 km et un prix de 1,80 €/litre dépense près de 648 € mensuels, soit plus de 7 700 € par an uniquement en essence.
À ce montant s’ajoute l’incertitude : le prix du litre varie sans cesse, exposant les chauffeurs à des hausses brutales qui grignotent encore plus leurs marges.

Si le prix du carburant passe à 2 € le litre, la dépense grimpe alors à plus de 860 € mensuels, soit plus de 10 000 € par an.
Cette dépendance aux fluctuations du marché rend la gestion des revenus encore plus difficile, car il est impossible de prévoir un coût fixe d’exploitation.

L’entretien : une mécanique coûteuse et chronophage

Contrairement à l’électrique, la mécanique d’un véhicule thermique est complexe et sujette à de nombreuses usures :

  • Vidanges et filtres à remplacer régulièrement.
  • Courroie de distribution à prévoir tous les 100 000 à 150 000 km.
  • Embrayage à remplacer sur les modèles manuels.
  • Échappement, pot catalytique et sondes lambda.
  • Pannes électroniques ou mécaniques imprévues.

Chaque poste pèse lourd dans le budget annuel.
En moyenne, un véhicule thermique représente
1 500 à 2 000 € d’entretien par an, sans compter les immobilisations.

Mais dès qu’une panne sérieuse survient, la facture peut exploser : un remplacement d’embrayage ou d’injecteurs coûte facilement plus de 1 200 €, un turbo peut dépasser 1 500 €, et une casse moteur peut signifier plusieurs milliers d’euros.

En plus du coût financier, il faut considérer le temps passé au garage.
Chaque journée d’immobilisation représente une perte sèche de revenu, souvent entre 200 et 300 € par jour.

Des coûts cachés qui s’accumulent

Tesla Model Y Long range pour VTC : berline et très grande autonomie

Au-delà du carburant et de l’entretien planifié, les imprévus sont fréquents : panne de démarreur, batterie HS, système d’injection encrassé… Autant de dépenses non anticipées qui alourdissent le coût réel d’exploitation. Ces imprévus créent une insécurité budgétaire permanente pour le chauffeur. Même un véhicule récent peut réserver de mauvaises surprises.

Un exemple concret : un alternateur en panne, c’est environ 500 à 800 € de réparation, plus deux jours sans travailler. Un pneu crevé sur un véhicule lourdement chargé peut aussi signifier une facture importante. Petit à petit, ces frais additionnels réduisent la rentabilité déjà fragilisée par le carburant.

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Au-delà du carburant et de l’entretien planifié, les imprévus sont fréquents : panne de démarreur, batterie HS, système d’injection encrassé… Autant de dépenses non anticipées qui alourdissent le coût réel d’exploitation. Ces imprévus créent une insécurité budgétaire permanente pour le chauffeur. Même un véhicule récent peut réserver de mauvaises surprises.

Un exemple concret : un alternateur en panne, c’est environ 500 à 800 € de réparation, plus deux jours sans travailler. Un pneu crevé sur un véhicule lourdement chargé peut aussi signifier une facture importante. Petit à petit, ces frais additionnels réduisent la rentabilité déjà fragilisée par le carburant.

L’image d’un professionnel en retard

Le coût du thermique ne se limite pas à l’argent. Il y a aussi la perception des clients. Les passagers sont de plus en plus habitués à voyager dans des véhicules modernes, silencieux et dotés des dernières technologies (climatisation digitale, écrans arrière, ouverture automatique…). En comparaison, un VTC en thermique, même bien entretenu, peut donner l’image d’un service resté à l’ancienne. Sans être brutal, le risque est de passer pour un chauffeur dépassé, un peu “dinosaure”, face à des collègues déjà passés à l’électrique.

Dans un métier où l’image et la satisfaction client pèsent lourd, ce ressenti peut influencer les notes et donc l’attribution des courses sur les plateformes. Une note légèrement inférieure suffit parfois à perdre en visibilité et donc en chiffre d’affaires.

Le vrai coût d’opportunité

Attendre pour basculer vers l’électrique, c’est perdre deux fois :

  1. En supportant des charges plus élevées (carburant + entretien).
  2. En laissant passer l’opportunité d’améliorer son image et sa visibilité sur les plateformes.

Chaque mois passé en thermique, c’est plusieurs centaines d’euros de perdus et une impression de retard qui s’installe. Pendant ce temps, les collègues en électrique gagnent non seulement en rentabilité, mais aussi en visibilité grâce aux programmes mis en place par les plateformes (comme Uber Green). L’électrique devient ainsi un investissement gagnant qui combine économies, confort pour les passagers et valorisation de l’activité.

Une voiture thermique coûte cher à rouler et à entretenir. Elle pénalise la rentabilité, génère des imprévus et donne une image de moins en moins en phase avec les attentes des passagers. Plus un chauffeur tarde à franchir le pas, plus il s’enferme dans un modèle coûteux et dépassé.

Passer à l’électrique n’est plus seulement un choix écologique, c’est un levier économique et stratégique pour rester compétitif dans le métier de VTC. Choisir de rester en thermique, c’est accepter des dépenses plus lourdes et une image de marque dégradée. Choisir l’électrique, c’est sécuriser son revenu, améliorer son service et préparer son avenir professionnel.

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Une alternative avec E-Lutetia

Pour les chauffeurs qui hésitent encore à franchir le pas, la location chez E-Lutetia constitue une solution clé en main.
L’agence propose des véhicules électriques spécialement adaptés à l’activité VTC, avec la
recharge incluse et l’entretien pris en charge.
Ces charges variables, qui pèsent lourd en thermique, disparaissent totalement : elles sont intégrées dans le loyer de location.

👉 Cela signifie que le chauffeur connaît à l’avance son coût d’exploitation, sans mauvaises surprises liées au prix du carburant ou à une panne mécanique imprévue. C’est une manière de sécuriser son budget, tout en bénéficiant d’une voiture moderne et valorisante pour les passagers.

Pour en savoir plus et découvrir les modèles disponibles, rendez-vous directement sur la page d’accueil d’E-Lutetia.